En choisissant ces moments, ce week-end, il y avait moyen de rester sec!La lumière était d'ailleurs assez douce, souvent même assez belle, venant lécher les paysages.
On est en pleine période de chasse, 5 ou 6 battues dans la région; avec un peu d'instinct de conservation, j'ai survécu.
La chasse est présente sous différentes formes; le bruit bien sûr, mais aussi, ça et là quelques vestiges de son effervescence récente.
Les fameux paillassons, finalement interpellants pour l'oeil du photographe.
En voilà quelques-uns qui mon permis, le temps de ma promenade, de me créer mon univers.
Pour paraphraser Depardon:"La solitude heureuse du photographe"








